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Le Mardi 05 Octobre 2004 à 17H30 | | Ajouté le Dimanche 03 Avril 2005 |
| Articles de presse | | Le Bien Public
Édition du Jeudi 04 Novembre 2004
*** Résumé de l'article *** « Ces gens qu'on ne voit plus.
Le narrateur est né quelque part, là-bas, dans un de ces pays qui n'arrive pas à nourrir ses enfants. Alors il est venu en France, où il a découvert Paris.
Paris et son mirage d'un éden où tout serait facile.
Paris et ses ponts, ses clochards. Paris et son aide sociale, qui va comme elle peut. Paris et ses camions de poubelle, qui veulent bien des bras étrangers.
Paris et ses femmes qui semblent si faciles et le sont si peu. .
Sébastien Maz raconte une civilisation brutale et marchande, en un petit livre qui ne peut pas laisser indifférent.
Ce n'est la faute de personne, c'est celle de tout le monde. »
Article écrit par J.R. | | Cliquez pour visiter le site | Signaler un lien mort | | Ajouté le Lundi 30 Mai 2005 |
| | | Le Monde "Le monde des livres"
Édition du Vendredi 20 Août 2004
*** Résumé de l'article *** « Le premier roman de Sébastien Maz : Je vois possède la qualité (rare) d'aborder un thème actuel et cruel, d'éviter aussi l'habituelle évocation narcissique qui prédomine chez les jeunes auteurs. Son héros, auquel il prête la force et la sincérité du "je", a quitté son pays arabe, la pauvreté, et le poids d'une religion tyrannique... Mais après avoir "vu" et subi les contraintes de sa terre d'origine, le jeune immigré découvre les traquenards du recrutement de la main d'oeuvre étrangère, le désert sexuel, d'autant plus frustrant qu'il est envahi par les images les plus excitantes, la solitude profonde de l'homme sans famille, et surtout les pièges d'une société qui canalise la misère pour mieux l'anesthésier... L'écriture de Sébastien Maz, intelligemment adaptée au soliloque de cet être paumé qui comprend, lutte, désespère, réagit, tombe, se relève et s'écroule, confère à ce roman l'intensité et l'authenticité que réclame un tel sujet... »
Article écrit par Hugo MARSAN | | Cliquez pour visiter le site | Signaler un lien mort | | Ajouté le Dimanche 03 Avril 2005 |
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Photo : © Audrey Linck
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*** Revue de presse ***
« Le premier roman de Sébastien Maz : Je vois possède la qualité (rare) d'aborder un thème actuel et cruel, d'éviter aussi l'habituelle évocation narcissique qui prédomine chez les jeunes auteurs. Son héros, auquel il prête la force et la sincérité du "je", a quitté son pays arabe, la pauvreté, et le poids d'une religion tyrannique... Mais après avoir "vu" et subi les contraintes de sa terre d'origine, le jeune immigré découvre les traquenards du recrutement de la main d'oeuvre étrangère, le désert sexuel, d'autant plus frustrant qu'il est envahi par les images les plus excitantes, la solitude profonde de l'homme sans famille, et surtout les pièges d'une société qui canalise la misère pour mieux l'anesthésier... L'écriture de Sébastien Maz, intelligemment adaptée au soliloque de cet être paumé qui comprend, lutte, désespère, réagit, tombe, se relève et s'écroule, confère à ce roman l'intensité et l'authenticité que réclame un tel sujet... » © Hugo MARSAN - Le Monde Édition du Vendredi 20 Août 2004 |